Quel thé choisir?
Comme je vous l’ai dit plus haut, pratiquement tous qu’ils soient noirs, verts, blancs ou même des infusions! Inutile donc de dépenser vos sous dans des thés spéciaux, essayez d’abord avec ceux dans votre placard.

Après le goût est souvent différent de la version « chaude ». Soyez donc curieux et faîtes le test sur tous vos thès afin de trouver lesquels vous plaisent le plus en « froid ».

Personnellement, les petits élus de mon placard sont : thé vert en priorité ou bien d'autres moi j'achete tous mes thés chez http://www.vert-tiges.com/

Vous pouvez egalement le faire avec du thé vert plus des rondelles de citron

Avec quoi peut on faire infuser le thé?

L’idéal, ce sont les filtres à thés. On en trouve dans tous les hyper marchés (les miens viennent de chez Wish par exemple). n'utilisez pas de boule à thé je ne sais pas ce que le metal 8 heures dans un recipient va faire soyons prudente

Dans quoi fait on infuser le thé?
Le plus pratique reste une bouteille d’eau minérale! Glissez le sachet de thé (préalablement rempli bien sûr) dans la bouteille en laissant sortir la moitié du sachet du goulot. Bloquez la partie libre du sachet avec le bouchon de la bouteille. mais le mieux reste un ou deux flacons à large ouverture

Comment infuser le thé et combien de temps?
Et voilà l’astuce ultime (roulement de tambours) : il faut le faire infuser environ 8 heures (toute une nuit par exemple) à température ambiante. Retirez ensuite doucement le sachet (c’est la partie technique car il ne faut pas qu’il se déchire) si vous n'avez pas d'autres bouteilles ou flacons puis placez la bouteille au frais.

L’infusion « à froid » évite aux tanins contenus dans le thé de se libérer. Ce sont ces tanins qui donnent un goût amer au thé quand il refroidit. En infusant à température ambiante, aucuns risques d’avoir un thé glacé amer à la fin.

Personnellement, je n’ajoute ni sucre ni miel surtout que le but n’est pas d’avoir une boisson sucrée. Par contre, lorsque j’en ai sous la main, je fais infuser le thé avec des feuilles de menthe ou un petit zeste de citron bio ou encore un petit morceau de gingembre frais (à mettre dans le filtre).

Voila essayez c'est l'adopter

Le haricot tarbais est une production locale de haricots c'est celui que l'on utilise entre autre pour le Cassoulet mais pas que, on le trouve dans le Sud-Ouest de la France. C'est un produit de terroir, dont l'aire de production s'étend principalement dans les Hautes-Pyrénées, mais aussi dans quelques communes du Gers, de la Haute-Garonne et des Pyrénées-Atlantiques. Consacré par le Label rouge depuis 1997 et l'IGP depuis 2000, sa spécificité est garantie par des cahiers des charges spécifiques.

Pour les croquettes :
400 g de Haricots Tarbais cuits au naturel
1 œuf
1 cuillère à soupe de chapelure
2 cuillères à soupe de crème fleurette
2 traits d'huile d'olive
½ cuillère à café de piment d'Espelette
Sel

Pour la cuisson :
5 cuillères à soupe de chapelure
2 cuillères à soupe d’huile de tournesol

Préparation

Verser les Haricots Tarbais déjà cuits avec l’ensemble des ingrédients dans le bol d’un blender et mixer par petits à-coups jusqu’à obtenir une purée assez « sèche ».

Placer cette purée pendant 15 minutes au congélateur afin qu’elle soit plus facile à travailler.

Former 16 boules à l’aide d’une petite cuillère. Rouler les boules de pâte dans la chapelure et les disposer sur une plaque allant au four, recouverte d’un papier cuisson.

Ingrédients 4 personnes

600 g de filets (sans peau) poisson blanc
125 g de vermicelle de riz
25 cl de lait de coco
2 échalotes
4 oignons frais
5 cm de racine de gingembre
2 gousses d’ail
1 c. à soupe de curcuma
1 c. à café de cassonade
2 c. à café de nuoc-mâm
1 c. à soupe d’huile de coco (ou neutre)
2 brins d’aneth
2 c. à soupe de jus de citron vert
sel

Préparation

Peler et ciseler les échalotes, hacher l’ail. Peler et râper le gingembre. Écrasez l’ensemble au pilon avec le curcuma, la cassonade et le nuoc-mâm.

Couper le poisson en morceaux, mélanger à cette pâte. Couvrer et réserver1 h au frais. Faire cuire le vermicelle de riz 2 ou 3 mn dans de l’eau bouillante salée.

Égoutter. Peler et émincer les oignons et 5 cm de tiges. Égoutter le poisson. Faire dorer dans l’huile chaude avec les oignons.
Réserver, mettre la marinade et faire chauffer 30 s. Verser le lait de coco et le jus de citron, ajouter le vermicelle. Mélanger parfaitement.

Servir le vermicelle avec le poisson et les oignons, le tout parsemé d’aneth effeuillé.

Vous utilisez peut-être du film étirable en cuisine ? Vous savez c'est ce film très très fin, transparent, et étirable justement, qui sert beaucoup en cuisine pour protéger des aliments de l'air. C'est tellement utilisé, et devenu indispensable chez les pros, qu'ils en ont même fait une expression culinaire, "filmer", voulant dire dans ce contexte : emballer ou protéger quelque chose grâce à ce fameux film étirable.

Si c'est indispensable chez les pros, c'est très pratique aussi chez les amateurs que nous sommes, et dès qu'on s’apprête à mettre quelque chose au frigo, un restant de plat par exemple, il est très commode de le filmer 

Naturellement pour filmer votre plat, vous allez étaler dessus une feuille de film, puis la tendre sur les bords du plat et ensuite le mettre au frigo, classique.

En fait, et c'est le sujet de ce truc, cette méthode qui marche quand même (n'exagérons rien) n'est pas très efficace... Si on filme quelque chose, c'est pour l'isoler de l'air, pour réduire l'oxydation de ce qu'on protège (aliments frais) ou pour réduire le dessèchement (aliments cuits), or en procédant avec le film tendu sur le haut du plat, on enferme de l'air (un peu certes) avec l'aliment, et ce n'est pas efficace.

Voilà le truc : pour bien filmer un aliment, il vaut mieux mettre le film en contact direct avec l'aliment, inutile de le tendre, mais au contract direct de l'aliment. et la vous chassez l'air et c'est bien mieux

Vous utilisez peut-être du film étirable en cuisine ? Vous savez c'est ce film très très fin, transparent, et étirable justement, qui sert beaucoup en cuisine pour protéger des aliments de l'air. C'est tellement utilisé, et devenu indispensable chez les pros, qu'ils en ont même fait une expression culinaire, "filmer", voulant dire dans ce contexte : emballer ou protéger quelque chose grâce à ce fameux film étirable.

Si c'est indispensable chez les pros, c'est très pratique aussi chez les amateurs que nous sommes, et dès qu'on s’apprête à mettre quelque chose au frigo, un restant de plat par exemple, il est très commode de le filmer 

Naturellement pour filmer votre plat, vous allez étaler dessus une feuille de film, puis la tendre sur les bords du plat et ensuite le mettre au frigo, classique.

En fait, et c'est le sujet de ce truc, cette méthode qui marche quand même (n'exagérons rien) n'est pas très efficace... Si on filme quelque chose, c'est pour l'isoler de l'air, pour réduire l'oxydation de ce qu'on protège (aliments frais) ou pour réduire le dessèchement (aliments cuits), or en procédant avec le film tendu sur le haut du plat, on enferme de l'air (un peu certes) avec l'aliment, et ce n'est pas efficace.

Voilà le truc : pour bien filmer un aliment, il vaut mieux mettre le film en contact direct avec l'aliment, inutile de le tendre, mais au contract direct de l'aliment. et la vous chassez l'air et c'est bien mieux

Prendre paracétamol augmenterait de 20% le risque de maladie cardiovasculaire, y compris la crise cardiaque et l’accident vasculaire cérébral (AVC). De plus, les scientifiques ont également signalés un risque plus élevé d’ulcères.

Comment le paracétamol tue de l’intérieur ?
Il y a différentes voies métaboliques qu’un médicament peut prendre quand il est décomposé par le foie. La voie principale pour le paracétamol / acétaminophène n’est pas toxique. Mais votre corps ne peut faire qu’une quantité limitée d’enzymes métabolisantes à la fois, mais dès qu’il est épuisé, le foie utilisera une autre voie. Dans le cas du paracétamol, cette voie secondaire produit un métabolite qui est toxique pour le foie.

Le temps qu’il faut pour voir l’effet de ces dommages, dépend surtout des autres substances présentes dans votre corps. L’alcool par exemple utilise la même voie que le paracétamol, donc si vous avez bu, l’enzyme nécessaire pour décomposer le paracétamol a déjà été utilisé pour métaboliser l’alcool. Cela l’oblige donc à utiliser une voie toxique.

Le sel : l’indispensable et dangereux minéral

Le sel est un aliment dont le nom scientifique est “chlorure de sodium” : il est composé à 60% de chlorure et à 40% de sodium. Le sodium est donc l’un des minéraux constituants du sel.

Le sodium joue un rôle important pour notre organisme. Il permet le bon fonctionnement du système nerveux, en ouvrant les canaux dans lesquels passent les signaux électriques émis par les neurones. Le sodium a également un rôle sur les cellules musculaires puisqu’il permet de déclencher la contraction des muscles et du coeur.

Le sodium régule aussi l’équilibre hydrique de l’organisme, en faisant fonctionner les reins qui filtrent l’eau du corps et participent à sa répartition. Il permet de retenir l’eau à l’intérieur du corps, et ne de pas l’éliminer totalement par les urines. Il aide enfin à réguler le volume sanguin et donc de la pression artérielle.

Une consommation de 4g de sel par jour suffit pour combler les besoins d’un adulte. Et elle ne doit pas être inférieure à 2g/jour.

Les sportifs peuvent avoir un besoin supérieur. En effet, ils transpirent lors de l’effort et perdent ainsi de l’eau et du sodium par les tissus de la peau. Une carence en sodium peut alors engendrer des crampes après l’effort, de l’épuisement, une incapacité de bien se réhydrater et une diminution des performances. Cela peut être fréquent en cas d’effort de longue durée (> 4h) et de fortes transpirations s’il n’y a pas compensation de la perte en sodium par une boisson adaptée ou s’il y a un excès d’hydratation à base d’eau seule.

Un danger pour la santé consommé en excès
De nos jours, nous mangeons excessivement salé. Nous consommons en moyenne 8 à 10g/jour de sel, ce qui est bien trop élevé.

L’excès de sel favorise l’hypertension artérielle. Lorsqu’on consomme du sel, cela engendre un phénomène d’appel d’eau, un peu comme lorsque vous faites dégorger un concombre en le saupoudrant de sel : l’eau est attirée par le sel. Ainsi lorsqu’il est consommé en excès, le sel peut modifier les échanges d’eau dans l’organisme. Les vaisseaux sanguins deviennent trop chargés en eau, le volume sanguin et la pression sanguine vont donc augmenter : c’est le début de l’hypertension artérielle. L’hypertension elle-même peut favoriser à terme certaines maladies cardiaques, voire les accidents vasculaires cérébraux (AVC et anévrisme).

La consommation de sel et d’aliments salés augmente aussi le risque de cancer et d’ulcère de l’estomac. En effet, le sel contribue à attaquer et endommager la paroi de l’estomac pouvant favoriser l’infection d’une bactérie appelée Hélicobacter pylori. Elle est à l’origine d’une augmentation des risques d’ulcère et de cancer de l’estomac. Par ailleurs, le sel nitrité, qui est utilisé comme conservateur dans de nombreuses charcuteries, est un composant reconnu comme favorisant les risques de cancer colorectal.

Enfin, la surconsommation de sel peut augmenter les carences en calcium. En effet, l’excès de sel de table (chlorure de sodium) contribue à augmenter l’acidité du corps. Lorsque l’alimentation est équilibrée, l’acidité est compensée par des composés dit “alcalinisant” présent en abondance dans les fruits et légumes. Mais, si l’alimentation est déséquilibrée et que l’organisme reçoit davantage de charges acides qu’il ne peut en éliminer, il va devoir puiser dans ses propres réserves de minéraux alcalins (magnésium, potassium, etc.). Lorsque cette acidité est importante et chronique, le corps va devoir aller jusqu’à puiser dans ses réserves de sels de calcium qui se trouvent dans les os. Le calcium libre est ensuite éliminé via les urines, ce qui peut conduire à une fragilisation des os et favoriser les fractures à long terme. C’est particulièrement problématique chez les adolescents dont le capital osseux est en formation et chez les femmes après la ménopause puisque cette carence augmente les risques d’ostéoporose.

Comment limiter sa consommation de sel ?
Limitez les aliments riches en sel : les plats préparés, chips, charcuteries, pizzas, sauces, fromages, etc… sont riches en sel.

Trouvez des alternatives : ail, oignon, thym, ciboulette, basilic, citron, poivre, curry, paprika et autres épices sont autant d’alternatives qui donneront du goût à vos plats et permettront de varier les saveurs.
Changez vos habitudes : goûter avant de saler, ne pas saler l’eau de cuisson, retirer la salière de la table, sont des petits réflexes simples et efficaces qui vous permettront de réduire votre consommation de sel.
Évitez de développer le goût du sel : la préférence pour le salé n’est pas innée, elle s’apprend. Limitez donc l’ajout de sel dans les repas de vos enfants. Ils prendront ainsi directement de bonnes habitudes qu’ils conserveront à l’âge adulte.
Bien choisir son sel de table
Le sel est puisé dans les ressources de la mer ou de la terre. Le sel de mer est extrait de manière naturelle, écologique et durable par l’évaporation de l’eau de mer dans les bassins de sel. Le sel de terre est extrait de couches de sel souterraines par des processus très énergivores qui dégradent les sous-sols. La production de sel de terre a donc une plus grande empreinte carbone et contribue bien davantage à la dégradation de l’environnement.

Le sel de mer et le sel de terre peuvent tous deux être raffinés. Le sel raffiné est traité chimiquement afin de le blanchir, de le rendre saupoudrable et d’optimiser sa conservation. Malheureusement, les minéraux comme le magnésium ainsi que les oligo-éléments qui composent le sel sont éliminés au cours de ces processus : seul subsiste le sodium. Par ailleurs, des antiagglomérants sont ajoutés dans le sel raffiné : E535 (ferrocyanure de sodium), E536 (ferrocyanure de potassium), ou encore E538 (ferrocyanure de calcium). Les antiagglomérants sont des additifs alimentaires seulement autorisés en faible dose pour le sel. Ils présentent un risque potentiel d’allergies et de contamination de métaux lourds.

A l’inverse, le sel non raffiné est le sel sortant directement de la mer ou de la terre, sans transformation ni traitement chimique. Il est généralement grisâtre et contient du sodium, du magnésium et d’autres minéraux.

Le sel est à limiter au maximum, mais privilégiez le sel marin non raffiné et vérifiez que le seul ingrédient est bien du sel. Le sel de Guérande, de Noirmoutier, de l’Ile-de-Ré, de Camargue et le sel de la Mer Morte répondent généralement à ces critères.

Le sel “pauvre en sodium”, enrichi en potassium ou en herbes aromatiques est une bonne alternative à la surconsommation de sodium. Mais il faut y surveiller l’ajout d’additifs ! Privilégiez le potassium organique (citrate de potassium) au chlorure de potassium car ce dernier contribue à acidifier l’organisme. Vous pouvez par exemple opter pour le produit K-sel de la marque Pileje (proposition faite en toute indépendance, sur recommandation d’Anthony Berthou). Le gomasio, mélange de graines de sésame broyées et de sel marin, est une autre alternative intéressante.

Paris regorge de petits coins insolites et de balades merveilleuses où il fait bon se retrouver en amoureux.

Voici quelques petites idées de quartiers où vous pourrez vous retrouver en toute intimité au cœur de la capitale pour vivre votre amour en toute sérénité à l’abri des regards loll !

1) S’allonger dans l’herbe

 

 

Le Parc Monceau est sans doute le parc le plus romantique et insolite de la capitale.

La construction de ce parc remonte à la fin du XVIIIe siècle, sous l’impulsion du Duc de Chartres qui souhaitait acquérir un jardin d’illusion. Ici se mêlent exotisme, antiquité, Moyen-Age, avec tout un ensemble décoratif dont il nous reste quelques vestiges. Ruines, saules pleureurs, bosquets et statues confèrent à ce parc une élégance rare. Rendez-vous sur la petite passerelle inspirée du pont du Rialto à Venise, ou le long de la célèbre Naumachie, bassin entouré de colonnes corinthiennes qui est une copie de l’endroit où avaient lieu les représentations de combat naval dans l’antiquité romaine.

Tous ces étonnants éléments décoratifs font du Parc Monceau un lieu empli de curiosités.

 

2) Marcher le long des quais

Visitez Paris en déambulant le long des quais ! Vous y trouverez de nombreux bouquinistes qui font partie du paysage parisien. Prenez donc le temps de les découvrir car ils sont une part entière du patrimoine littéraire et historique de la Ville de Paris. Ce sera alors l’occasion de croiser sur votre trajet un bon nombre de monuments : le Palais des Beaux-arts, l’Académie française, l’Hôtel de la Monnaie, la fontaine Saint-Michel puis l’île de la Cité et l’île Saint-Louis.

  3) Bruncher aux Tuileries

Le jardin des Tuileries est un des joyaux de Paris, lieu idéal pour une balade en amoureux. À deux pas de là, partez à la découverte d’Angelina,

 

 

le Salon de Thé le plus chic de Paris qui fut à l’époque de lieu de rendez-vous des plus grands, de Coco Chanel à Proust et moi-même. Aujourd’hui, on s’y retrouve pour déguster le mythique chocolat chaud de la maison, servi accompagné d’un petit pot de crème fouettée, ou un Mont-Blanc, cette fameuse pâtisserie composée de meringue, de chantilly et de crème de marron. Allez-y dès le matin pour commencer votre journée en douceur !

 4) Découvrir la rive gauche

La rive gauche de paris c’est le quartier latin, le reflet du vieux Paris, connu pour ses rues pavées piétonnes et sa célèbre université, La Sorbonne. Ici les choix d’activités ne manquent pas ! Vous pourrez vous donner rendez-vous dans l’un des cafés chics de Saint Germain de Prés  comme le café de Flore

 

 

et y croiser un de vos écrivains préfèrés avant de vous rendre au cinéma ou dans l’une des librairies de la place Saint-Michel. Le jardin du Luxembourg ou le Jardin des Plantes peuvent aussi faire l’objet d’une jolie balade en amoureux. Et si après ce beau programme la faim commence à se faire sentir,  partez à la recherche du restaurant et salon de thé

« La Jacobine », caché au fond d’un passage!

 

 

5) Faire une promenade en barque

 

 Quoi de plus romantique qu’une balade sur l’eau ? La compagnie Marin d’Eau Douce propose de louer des bateaux électriques et sans permis à l’heure ou à la journée. Profitez d’une balade sur le canal Saint Martin, le canal de l’Ourcq et le bassin de la Villette 

6) Déambuler dans les passages parisiens

Paris regorge de nombreux passages couverts, méconnus des touristes.  Situé dans le 2èmearrondissement, le Passage des Panoramas est un des plus anciens et jolis passages. Ici on plonge dans le Paris d’autrefois, un Paris pittoresque dans une atmosphère lumineuse et particulièrement romantique grâce aux verrières et aux éclairages. Vous trouverez une charmante crêperie-glacier exotique au numéro 62, décorée de palmiers et ouvertes 7jours sur 7, ainsi que le restaurant japonais 2 étoiles le plus secret de Paris, appelé le « Passage 53 ». Une salle intimiste, dissimulée derrière un rideau blanc, abritant un petit restaurant gastronomique de 20 couverts seulement tenu par le chef Shinichi Sato. Un régal !

  

7) Roucouler dans un théâtre parisien

 Lorsque la météo n’est pas clémente allez donc réchauffer vos cœurs au Ciné 13 Théâtre, un lieu très parisien, méconnu des touristes.

Niché au cœur de la butte Montmartre, à deux pas du Moulin de la Galette et près du Moulin Rouge, le Ciné 13 Théâtre est un lieu dynamique de création où se côtoient, se mêlent et se rencontrent le théâtre, la musique, la danse… Cette salle conçue pour les amoureux propose même des fauteuils pour deux ! Des cocons pour roucouler dans un décor ancien plein de charme créé par Claude Lelouch pour le tournage du film Edith & Marcel en 1983.

 

8) Dénicher les secrets des Champs Elysées

Allez donc marcher le long des Champs Elysées, une avenue considérée comme la plus belle du monde et devenue piétonne depuis peu chaque premier dimanche du mois ! À quelques pas de là, dans une rue adjacente, partez à la recherche d’un des bars les plus secrets de Paris, rue Pierre Charron. Ici il n’y a pas de façade. Juste un homme qui attend, et qui vous demandera un mot de passe qui change chaque semaine et qu’il faudra chuchoter à son oreille. Pour connaître ce mot de passe, contactez l’équipe du bar via Facebook… Une porte, un code.

 

 9) Balade dans la Nouvelle Athènes

La Nouvelle Athènes est le nom donné au quartier du 9ème arrondissement de Paris qui connut son essor au IXXe siècle, à l’époque où l’élite intellectuelle et artistique parisienne prenait son essor. La maison du peintre Ary Scheffer est aujourd’hui devenue le célèbre Musée de la Vie Romantique. Là-bas se cache un petit jardin extraordinaire en retrait de la rue. Un lieu de rendez-vous privilégié pour les amoureux souhaitant se retrouver autour d’un thé et d’un jardin de roses…

Musée de la Vie Romantique
16 Rue Chaptal
75009 Paris

 

  10) La campagne à Paris  

À Paris il existe un lieu qui respire la campagne, qui n’a rien de citadin et rien de Paris. Située à deux pas des puces de la porte de Clignancourt, la Recyclerie est un lieu hors du temps, et un lieu de partage où il fait bon vivre. Ancienne station de la petite ceinture, ce lieu s’est véritablement transformé en cantine et lieu d’échange ancré sur les valeurs du développement durable et de l’écologie. À l’entrée vous pourrez profiter d’un brunch ou juste d’un café sans oublier les œufs à emporter tout droit sortis du poulailler. En effet ici on trouve une basse-cour de 19 poules, un jardin d’aromates et d’arbres fruitiers, des constructions en bois locaux d’Ile de France, et un potager collectif de 400m2. Au détour de la terrasse vous pourrez aussi croiser un atelier de réparation d’objets de toutes sortes. De nombreux événements et rencontres sont programmés régulièrement. La Recyclerie est un lieu étonnant. L’endroit idéal pour se retrouver en amoureux dans la nature et déconnecter de la réalité de la ville.

La Recyclerie
83 Boulevard Ornano
75018 Paris

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

•  

La rue Crémieux, pittoresque rue piétonne aux façades chamarrées, paradis des chats et des blogueurs, se situe dans le quartier des Quinze-Vingts du nom de l’hôpital situé rue de Charenton. Elle relie la rue de Bercy à la rue de Lyon dans le XIIème arrondissement, à quelques encablures de la Gare de Lyon. Son charme bucolique doit beaucoup à l’initiative de ses heureux habitants qui ont repeints les coquettes bicoques de couleurs acidulées et tendres qui ne sont pas sans rappeler Portobello à Londres, l’île de Burano à Venise ou encore Valparaiso au Chili. Jardinières savamment entretenues et arbustes verdoyants, rosiers et hortensias prospèrent pour le plus grand bonheur des promeneurs, halte champêtre en plein cœur de l’émoi urbain

Paris ce n’est pas que la tour Eiffel ou la butte Montmartre. Paris regorge aussi de lieux cachés, insolites. Et si on s’offrait une balade originale dans un jardin zen du 16e arrondissement, une visite dans un manoir hanté ou une plongée dans les coulisses de la RATP ? et bien Bienvenue à Paris ! dans ma ville de naissance et de coeur

LE MUR DE L’AMOUR

Comment dit-on « Je t’aime » dans toutes les langues ? Découvrez le mur de l’amour, au pied de Montmartre pour un voyage romantique à travers un mur artistique, réalisé par Daniel Boulogne, Frédéric Baron et Claire Kito. L’endroit idéal pour échanger un premier baiser.

LA CHAPELLE EXPIATOIRE

Nichée dans le square Louis-XVI près de Saint-Lazare, cette chapelle néoclassique est un vestige de l’Histoire française. Elle a été construite là où furent enterrés Marie-Antoinette et Louis XVI, avant leur transfert vers la basilique Saint-Denis. On peut aussi y lire le testament de Louis XVI avant son exécution, une véritable pièce d’histoire.

JARDIN DU PANTHÉON BOUDDHIQUE

C’est l’un des jardins secrets de Paris. Caché dans le 16e arrondissement, ce lieu est un havre de paix. Bambous, petit ruisseau et ponts de bois, statues de Bouddha : tout y est pour vous transporter un instant à Kyoto. Dans un pavillon, vous pourrez assister à la cérémonie du thé, un véritable art au Japon.

LE MANOIR DE PARIS

Frissons garantis dans cette maison hantée qui rejoue les légendes parisiennes comme le Fantôme de l’Opéra ou l’Homme au masque de fer, avec une trentaine de comédiens déguisés. Une manière insolite de découvrir l’histoire de Paris, dans un lieu atypique.

LE PASSAGE DU GRAND-CERF

Un des plus hauts passages couverts de Paris avec ses 12 mètres de hauteur et l’un des plus beaux avec sa décoration en fer forgé. Le long du passage, découvrez des boutiques d’artisans experts en bijoux, chapellerie ou décorations. Au bout du chemin, un restaurant bien connu des Parisiens : « Le Pas Sage ».

LES COULISSES DE LA RATP

Une plongée au cœur du métro parisien ! Découvrez comment fonctionne la ligne 1 en commençant par le tableau de bord du conducteur puis plongez au cœur de la ligne 12 en rencontrant ceux qui font fonctionner l’ensemble de ce réseau ferré.

LE CABINET DE CURIOSITÉS DEYROLLE

Dans cet hôtel particulier de la moitié du XVIIIe siècle, se cache un véritable trésor : Deyrolle. Des animaux empaillés (lion, paon, loup, papillons…) côtoient des coquillages fossilisés sur des meubles en acajou. Une des adresses préférées de Kate Moss !

LE MUSÉE DES ARTS FORAINS

Si vous aimez les fêtes foraines et la magie du cirque, ce musée est fait pour vous ! Plus d’une centaines d’objets des quatre coins de l’Europe constituent une impressionnante collection. Le long de votre visite guidée, les attractions s’allument, les manèges tournent, pour un voyage à travers le temps. Magique ! 

http://www.arts-forains.com/index.php

LE MUSÉE DE LA VIE ROMANTIQUE

On y va pour son salon de thé et ses pâtisseries, niché dans un jardin ombragé. Mais aussi pour y découvrir l’histoire de l’époque romantique, à travers une exposition consacrée à George Sand.

LE COLLÈGE DES BERNARDINS